Chaque samedi, nous analysons la réputation en ligne de l’invité du « Face et Profil » de La Libre Belgique. Le 9 janvier 2016, il s’agissait de Ruth Porat, la nouvelle directrice financière de Google. Forbes la classe à la 32e place du classement des femmes les plus puissantes du monde.
FORTE(RESSE)
Respectée, influente, exigeante et travailleuse acharnée : voilà la réputation qui transparaît via le net. Débauchée à prix d’or par Google pour « insuffler de la rigueur », Ruth Porat commence à tailler dans les projets. Les actionnaires applaudissent, mais les équipes de développement s’en plaignent discrètement sur les forums spécialisés et sur Twitter. Elle combat l’équilibre travail-vie privée qui ne mène qu’à l’échec, dit-elle. Aucun dialogue sur les réseaux sociaux. Sa réputation de femme forte pourrait la mettre en difficulté si elle devait connaître une faiblesse ou un conflit.MÉTHODOLOGIE
Pour calculer cet indice d’e-réputation chaque semaine pour la Libre Belgique, nous analysons manuellement 48 critères, que nous pondérons et regroupons en quatre grands domaines :- Popularité : notoriété, surface presse, visibilité des supports, tonalité de l’image, …
- Communication 2.0 : dialogue sur les réseaux sociaux, quantité et qualité des abonnés, …
- Personal branding : visibilité de l’expertise, valeur ajoutée des traces numériques, …
- Sphère privée : protection des informations privées sans plus-value professionnelle.
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