e-réputation de James Daunt (librairies Waterstones)

Chaque samedi, nous analysons la réputation en ligne de l’invité du « Face et Profil » de La Libre Belgique. Le 16 avril 2016, il s’agissait de James Daunt, le patron de Waterstones, géant britannique du livre.

RECONSTRUIRE

Que relate Internet ? En 2012, les observateurs critiquent furieusement l’accord que James Daunt signe avec Amazon pour faire entrer les liseuses Kindle dans le réseau de librairies. L’ancien banquier déplace un début de communication de crise vers l’évolution du marché et le souhait des clients. Trois ans après, il ne reconnait pas l’échec décrit dans la presse mais met fin à ce partenariat qui a mis à mal l’image de Waterstones. Les analystes s’en donnent à cœur joie : les liseuses étaient une fausse bonne idée… Une reconstruction d’image semble en cours. Depuis 5 mois les actualisations de sa page Wikipedia se multiplient et des articles de presse positifs voient le jour.

MÉTHODOLOGIE

Pour calculer cet indice d’e-réputation chaque semaine pour la Libre Belgique, nous analysons manuellement 48 critères, que nous pondérons et regroupons en quatre grands domaines :

• Popularité : notoriété, surface presse, visibilité des supports, tonalité de l’image, …
• Communication 2.0 : dialogue sur les réseaux sociaux, quantité et qualité des abonnés, …
• Personal branding : visibilité de l’expertise, valeur ajoutée des traces numériques, …
• Sphère privée : protection des informations privées sans plus-value professionnelle.

Télécharger le résumé de l’audit

à lire aussi : Le « Face et Profil » de James Daunt dans La Libre Belgique

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