Chaque samedi, nous analysons la réputation en ligne de l’invité du « Face et Profil » de La Libre Belgique. Le 2 avril 2016, il s’agissait d’Ingvar Kamprad, fondateur de l’empire Ikea. Une icône à la réputation sulfureuse.
ICÔNE
Hier vendeur d’allumettes et aujourd’hui quatrième fortune mondiale selon Forbes, Ingvar Kamprad revendique une vie normale. Il cultive l’image de son personnage. Pourtant, après avoir gratté la surface, Internet dévoile rapidement des zones d’ombres et des portraits au vitriol : 40 ans d’exil fiscal, des sympathies nazies, une guerre juridique contre ses enfants. Mais l’homme est un redoutable communicateur. Totalement absent des réseaux sociaux, il excelle plutôt dans l’art de la contre-attaque ou du mea-culpa. Il reste donc une véritable icône dans son pays.
MÉTHODOLOGIE
Pour calculer cet indice d’e-réputation chaque semaine pour la Libre Belgique, nous analysons manuellement 48 critères, que nous pondérons et regroupons en quatre grands domaines :- Popularité : notoriété, surface presse, visibilité des supports, tonalité de l’image, …
- Communication 2.0 : dialogue sur les réseaux sociaux, quantité et qualité des abonnés, …
- Personal branding : visibilité de l’expertise, valeur ajoutée des traces numériques, …
- Sphère privée : protection des informations privées sans plus-value professionnelle.
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