Chaque samedi, nous analysons la réputation en ligne de l’invité du « Face et Profil » de La Libre Belgique. Le 20 février 2016, il s’agissait de Fabrizio Viola, le patron de la Banca Monte dei Paschi di Siena, plus vieille banque du monde et en pleine tourmente financière.
TENIR LE CAP
Fabrizio Viola bénéficie depuis 2012 d’une large couverture presse à tonalité positive. Analystes et journalistes saluent ses résultats qui réduisent les lourdes pertes au delà des prévisions, son geste de verser une partie de son salaire à un fonds de solidarité et surtout sa faculté à tenir la barre en pleine tempête. Son e-réputation, il la doit à sa réputation et aux médias traditionnels car il n’a aucune présence construite sur le Web et est totalement absent du dialogue sur les réseaux sociaux. Si le vent devait tourner et des critiques apparaître, il serait vite débordé avec une communication si traditionnelle.MÉTHODOLOGIE
Pour calculer cet indice d’e-réputation chaque semaine pour la Libre Belgique, nous analysons manuellement 48 critères, que nous pondérons et regroupons en quatre grands domaines :- Popularité : notoriété, surface presse, visibilité des supports, tonalité de l’image, …
- Communication 2.0 : dialogue sur les réseaux sociaux, quantité et qualité des abonnés, …
- Personal branding : visibilité de l’expertise, valeur ajoutée des traces numériques, …
- Sphère privée : protection des informations privées sans plus-value professionnelle.
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