Chaque samedi, nous analysons la réputation en ligne de l’invité du « Face et Profil » de La Libre Belgique. Le 25 juin 2016, il s’agissait de Matthias Müller, le patron du groupe Volkswagen depuis le séisme du « dieselgate ».
COURANT NATUREL
La réputation vue d’Internet est volatile. Et celle de Matthias Müller a souffert cette semaine. L’assemblée générale de Volkswagen a cristallisé sur lui toutes les rancœurs des petits actionnaires et des analystes. C’est le signe qu’il incarne l’image de son entreprise. Il a dû apprendre à la volée la communication de crise et réinventer une vision pour le groupe. Il fait d’ailleurs le choix de l’acte de contrition devant ses actionnaires. Son parcours depuis la chaîne de montage d’Audi en fait un gardien légitime des valeurs de marque. Il a été choisi pour sa réputation, c’est ce qu’il faut retenir : distinguer le courant et les vagues. Un socle de réputation qui permet d’encaisser une tempête médiatique.
MÉTHODOLOGIE
Pour calculer cet indice d’e-réputation chaque semaine pour la Libre Belgique, nous analysons manuellement 48 critères, que nous pondérons et regroupons en quatre grands domaines :- Popularité : notoriété, surface presse, visibilité des supports, tonalité de l’image, …
- Communication 2.0 : dialogue sur les réseaux sociaux, quantité et qualité des abonnés, …
- Personal branding : visibilité de l’expertise, valeur ajoutée des traces numériques, …
- Sphère privée : protection des informations privées sans plus-value professionnelle.
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