Chaque samedi, nous analysons la réputation en ligne de l’invité du « Face et Profil » de La Libre Belgique.
Le 6 juin 2015, il s’agissait de Sandrine Dufour, CFO et n°2 de Proximus, l’opérateur belge anciennement Belgacom.
DISCRÉTION
A peine arrivée à Bruxelles en tant que future CFO de Proximus, Sandrine Dufour accorde une interview à La Libre et sa petite phrase « Pour que Proximus soit une proie, il faut un vendeur » fera le tour de la Toile. Le quotidien « Les Echos » la qualifie de stimulatrice de croissance aimant les colonnes de chiffres à l’ancienne et les nouvelles technos. Pourtant, point de réseaux sociaux dans sa communication. Certes, on la dit discrète mais vu sa fonction et son secteur, c’est un lien fort vers les journalistes dont elle prive son entreprise. Côté privé, à part quelques détails parisiens, tout est très bien protégé. Les nombreux homonymes se chargent de noyer le reste.Télécharger le résumé de l’audit
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