Le baromètre e-réputation du Gouvernement wallon #walgov

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Paul Magnette, grand vainqueur du baromètre de l’e-réputation

26 juillet 2014, Louvain-la-Neuve : A l’occasion de la désignation du Gouvernement wallon, l’agence REPUTATION 365 a analysé l’image numérique des nouveaux ministres. Leur présence sur Internet est-elle maîtrisée ?

Les informations les concernant sont-elles valorisantes et relayées ? Utilisent-ils les réseaux sociaux de manière interactive ? Sur base d’outils qu’elle a développés, l’agence a attribué un score d’e-réputation à chaque ministre. Avec 87%, le nouveau ministre-président Paul Magnette se présente en pole position de l’e-réputation. Il devance Jean-Claude Marcourt (74%), Paul Furlan (71%) et Eliane Tillieux (65%). Suivent les humanistes Maxime Prévot (59%) et Carlo Di Antonio (54%). En fin de classement, on retrouve Christophe Lacroix (40%) et René Collin (32%), tous deux nouveaux dans l’équipage gouvernemental.

Pourquoi cette analyse ?

“Aujourd’hui, lorsqu’un citoyen veut en savoir davantage sur quelqu’un, le premier réflexe est de taper son nom dans Google. Nous sommes allés un pas plus loin, en objectivant la méthode à l’aide de nos propres outils”, explique Vincent Pittard, co-fondateur de REPUTATION 365. L’analyse englobe 4 critères : Google, soit la première vision que les internautes ont du ministre, la tonalité et la pertinence des photos, la popularité (les internautes cherchent-ils le ministre sur internet ?) et enfin l’interactivité du ministre avec les citoyens et les journalistes via les réseaux sociaux.

Quels enseignements ?

“Les ministres sont des personnalités particulièrement exposées aux médias. Depuis quelques années, ils ont pris la peine de bien s’entourer pour gérer également leur présence sur les réseaux sociaux. Ceci explique que les nouveaux ministres sont moins bien classés. Par contre, nous sommes étonnés des scores d’engagement, assez faibles d’une manière générale. Cela veut dire que les réseaux sociaux sont sans doute exploités de manière encore traditionnelle, selon une logique de média classique ‘émetteur-récepteur’. Il y a certainement une opportunité à exploiter : utiliser les réseaux sociaux comme un véritable outil de dialogue et faire davantage remonter de l’information”, soulignent les responsables de l’agence.

Infographie

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